Mondonville

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Mondonville
Mondonville
La tour de l'horloge.
Blason de Mondonville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Véronique Barraqué-Onno
2020-2026
Code postal 31700
Code commune 31351
Démographie
Gentilé Mondonvillois, Mondonvilloises
Population
municipale
5 680 hab. (2021 en augmentation de 25,64 % par rapport à 2015)
Densité 478 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 19″ nord, 1° 17′ 18″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 193 m
Superficie 11,89 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Blagnac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mondonville
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Mondonville
Liens
Site web Site officiel de la mairie

Mondonville est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau du Panariol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Mondonville est une commune urbaine qui compte 5 680 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Mondonvillois ou Mondonvilloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Mondonville se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 15 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 9 km de Blagnac[2], bureau centralisateur du canton de Blagnac dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Daux (2,9 km), Aussonne (3,0 km), Cornebarrieu (4,0 km), Montaigut-sur-Save (5,1 km), Merville (5,7 km), Saint-Paul-sur-Save (5,8 km), Seilh (5,9 km), Pibrac (6,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Mondonville fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Mondonville est limitrophe de six autres communes, dont deux par un quinquepoint. Les communes limitrophes sont Daux, Aussonne, Cornebarrieu, Pibrac, Lévignac et Montaigut-sur-Save.

Communes limitrophes de Mondonville[5]
Daux Aussonne
Mondonville Cornebarrieu
Montaigut-sur-Save,
Lévignac,
par un quinquepoint
Pibrac

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 189 hectares ; son altitude varie de 145 à 193 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mondonville.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau du Panariol, le ruisseau de Laroque et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le ruisseau du Panariol, d'une longueur totale de 14,24 km, prend sa source dans la commune de Lasserre-Pradère et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aussonnelle à Aussonne, après avoir traversé 4 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : la « forêt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du département[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mondonville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[I 2],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 063 235 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), forêts (28,7 %), zones urbanisées (18,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits ou hameaux[modifier | modifier le code]

Croix-d'Alliez, Les Cussecs

Transports[modifier | modifier le code]

La ligne 17 du réseau Tisséo relie le foyer rural de la commune à la station Andromède-Lycée du tramway de Toulouse, le TAD 118 relie la commune à la gare de Colomiers, en correspondance avec la ligne C en direction de Toulouse-Saint-Cyprien-Arènes, le TAD 120 relie la commune à la station Aéroconstellation du tramway de Toulouse, la ligne 369 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Lasserre-Pradère, et la ligne 373 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse également depuis Cadours.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Mondonville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Mondonville est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Bouconne. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24],[25]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mondonville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 352 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 352 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996, 2003, 2017 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Mondonvilla en 1289[28].

La forme ancienne du XIIIe siècle permet de rapprocher ce Mondonville de Mondonville-Saint-Jean (Eure-et-Loir, Mondonvilla Santi Joannis vers 1250)[28],[29].

Il s'agit d'un toponymique en -ville, dont le sens premier est villa, « domaine rural »[28].

Remarque : Ville, ancien français vile, est une forme d'oïl et résulte d'une francisation de la forme d'oc originelle vila, face aux plus courants vièla ou viàla (terminaison en -viele, -fielle, etc.). En effet, dans la région toulousaine -vièla (gascon) ou viàla (languedocien) a souvent fait place à -ville, alors qu'ailleurs en Gascogne et en Languedoc, il peut être francisé de manière partielle (voir par exemple : Endoufielle, Endofièla en occitan gascon).

Le premier élément Mondon- représente un anthroponyme germanique[28], comme c'est généralement le cas dans les formations en -ville (comme premier élément, les adjectifs romans sont rares et les appellatifs romans rarissimes). Il s'agit dans ce cas du nom de personne germanique Mundo[28] (latinisé souvent en Mundus dans les textes) et qui est un élément bien attesté dans l'anthroponymie médiévale du Sud-Ouest, y compris le nord de l'Espagne (Monderico, Mondoi, Mundellus, Mundila, Mundildus, Mundinus, etc.). La terminaison -on s'explique par le cas régime roman.

Histoire[modifier | modifier le code]

Du fait de sa position et de sa situation géographique, Mondonville a été le lieu d’une multitude de campements humains, dont des campements primitifs qui ont laissé de nombreuses preuves (outils de pierre taillée). Des fouilles préventives, lors du tracé routier de l’itinéraire à grand gabarit (lié à la production de l’Airbus A380), ont permis de mettre en évidence dans la commune un site acheuléen au lieudit Labadie.

Mondonville n’est mentionné qu’à partir du Moyen Âge. Selon d’anciens parchemins, ce village était l’une des possessions de Guillaume III Taillefer, Comte de Toulouse et fils de Pons, Comte d’Albigeois. Gervaise Taillefer, la fille de Guillaume III Taillefer, épouse vers 1040 Aton Jourdain de l’Isle, lui apportant en dot la seigneurie de Mondonville, Daux et plusieurs autres territoires.

Elle passe ensuite, avec les biens des Jourdain, à Jean Bourbon, Comte de Clermont, puis aux d’Armagnac. En 1526, la terre de Mondonville est apportée en dot par Rose d’Armagnac à son mari Gaspard de Villemur. Bertrand de Villemur vend Mondonville à Guy du Faur de Pibrac. La Seigneurie est ensuite vendue en 1620 par Michel du Faur de Pibrac à Charles de Turle dont l’épouse est plus connue sous le nom de « Madame de Mondonville ». En 1698, les membres de la famille d’Alliez puis, en 1757, ceux des Valentin du Bourg, deviennent à leur tour Seigneurs de Mondonville[30].

En 1934 une réunion de 400 carlistes se tint en présence d’Alphonse Charles de Bourbon dans la commune sur la propriété du légitimiste Joseph du Bourg[31].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Mondonville Blason
Taillé au 1) d’azur chargé de la lettre capitale italique M mouvant des bords de l’écu et de la partition, au 2) de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d’or ; au filet en barre et à la filière du même brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-sept[32],[33].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la première circonscription de la Haute-Garonne, de Toulouse Métropole et du canton de Blagnac.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1919 1925 Ernest Pouges    
1925 1941 Jean-Pierre Mesple    
1941 1944 Pierre Campistron    
1944 1945 Pierre Cazarre    
1945 1946 Jean-Pierre Mesple    
1946 1953 Pierre Cazarre    
1953 1971 Alexis Lasbats    
1971 1989 Henri Campistron PS  
1989 1995 Gérard Dournes PS  
1995 2001 Gérard Campistron RPR Professeur des universités
2001 2020 Edmond Desclaux PRG Retraité
2020 En cours Véronique Barraqué-Onno SE-DVG Ancienne directrice de crèche

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 5 680 habitants[Note 6], en augmentation de 25,64 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
462458531535597658664685685
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6626916435875305191 198555509
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
473450461381430408395396454
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5256431 0291 2451 3661 9002 5682 6894 236
2015 2020 2021 - - - - - -
4 5215 4835 680------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
Rang de la commune dans le département 128 86 87 97 86 68 52 48
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement[modifier | modifier le code]

Mondonville fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par l'école maternelle Jules Verne et l'école élémentaire Caroline Aigle.

Le collège Léon Blum et le lycée Victor Hugo sont situés dans la commune voisine de Colomiers.

Santé[modifier | modifier le code]

Culture et festivité[modifier | modifier le code]

Bibliothèque, salle des fêtes

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Pétanque, football, tennis,

Équipement sportif[modifier | modifier le code]

Boulodrome, deux terrains de football, quatre terrains de tennis, une aire multisports,

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de Toulouse Métropole[42].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 088 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 4 821 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 450 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 63 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 5,9 % 8,2 % 8,5 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 321 personnes, parmi lesquelles on compte 85,7 % d'actifs (77,1 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 14,3 % d'inactifs[Note 9],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 601 emplois en 2018, contre 676 en 2013 et 421 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 580, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 74,5 %[I 14].

Sur ces 2 580 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 247 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 89,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % les transports en commun, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

276 établissements[Note 10] sont implantés à Mondonville au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 276 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
14 5,1 % (5,7 %)
Construction 41 14,9 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
69 25 % (25,9 %)
Information et communication 9 3,3 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 5 1,8 % (3,8 %)
Activités immobilières 5 1,8 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
56 20,3 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
43 15,6 % (16,6 %)
Autres activités de services 34 12,3 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (69 sur les 276 entreprises implantées à Mondonville), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43] :

  • Soltis, recherche-développement en biotechnologie (21 757 k€)
  • Difradis, supermarchés (16 354 k€)
  • Etude Technique Realisation Batiment, construction d'autres bâtiments (6 198 k€)
  • Innolea, activités spécialisées, scientifiques et techniques diverses (3 488 k€)
  • ND Fondations, autres travaux spécialisés de construction (1 181 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 16 14 12 11
SAU[Note 13] (ha) 849 697 447 411

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 16 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 14 en 2000 puis à 12 en 2010[46] et enfin à 11 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 31 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[47],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 849 ha en 1988 à 411 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 53 à 37 ha[46].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-aux-Liens[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale dédié à saint Pierre aux liens est mentionnée dans les textes dès le début du XIIe siècle. Actuellement[Quand ?], il ne reste rien de ce premier sanctuaire. La reconstruction de l’église avec son clocher pignon date du XVIe siècle. Elle est réalisée dans le style néo-gothique qui s'épanouit au milieu du XIXe siècle. Le traditionnel clocher-mur disparaît au profit d'un clocher-tour plus conforme et plus caractéristique du gothique du Nord. Seul, le mur côté cimetière conserve quelques éléments cintrés qui rappellent l'origine de l'édifice. Ce fut jusqu'à la Révolution une annexe de la paroisse de Daux. Les Dominicains possédaient avant 1789 de grands domaines dans les territoires de Cornebarrieu et de Mondonville[48].

Notre-Dame-des-Champs[modifier | modifier le code]

Cette statue[49] témoigne de l’organisation d’une mission à Mondonville en 1875. Cette Vierge à l’enfant révèle un choix original qu’il faudrait rapprocher de la mise à l’honneur de l’Immaculée Conception consécutive aux apparitions de Lourdes. Mais cette représentation s’intègre également au vécu des agriculteurs qui constitue l’essentiel de la population de Mondonville à la fin du XIXe siècle. Si l’apparition de la Vierge portant l’Enfant est conforme à la tradition, elle est entourée de symboles qui caractérisent le milieu rural, soit un faisceau d’épis de blé, des fleurs et des fruits[48].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Tour de l’horloge[modifier | modifier le code]

Afin d’obtenir un bureau de poste télégraphe, la commune devait posséder une horloge. Le curé de l’époque ayant refusé de la fixer contre le mur de l’église, la commune qui n’a pas d’autre monument public approprié, décide alors de construire une tour au centre de la place du village. De forme octogonale, cette tour-horloge de briques rouges est construite vers 1852 par le maçon Rives de Mondonville. Son sommet comporte une cloche ainsi qu’une girouette[48].

Château de la Tour[modifier | modifier le code]

Du château principal de Mondonville dit « château de la Tour », il ne reste aujourd’hui que quelques vestiges : les deux tours qui marquaient l’entrée fortifiée (celle de droite présente un arc brisé et la fente d’emplacement d’une herse coulissante) et une partie des remparts. Cette forteresse médiévale comprenait un donjon imposant (12m de large et 35m de haut). Elle était entourée d’une enceinte et d’un fossé profond, auprès duquel se groupaient les maisons du village.

Château Vigneaux[modifier | modifier le code]

Le château Vigneaux est une maison caractérisée par une grande galerie en bois qui court le long de la façade principale et comprend un promenoir à l’étage. Il est situé de l’autre côté du ruisseau du Gajea, par rapport au château principal. Son nom évoque un territoire planté de vignes.

Château du Colombé (ou Colomé)[modifier | modifier le code]

Cette grande propriété agricole doit son nom à la tour centrale de l’édifice qui servait de pigeonnier. Le Colombé est au XVIIIe siècle la propriété des Dominicains de Toulouse qui possèdent à Mondonville 135 arpents de terre, pour lesquels ils s’acquittent de taxes au Seigneur de Mondonville.

Ancien hôtel de ville[modifier | modifier le code]

Ce bâtiment abritait auparavant l'école des garçons. L’école des filles se situait à l’emplacement de l'ancienne salle du conseil face à la poste.

Le rempart[modifier | modifier le code]

Le mur appelé par les habitants de Mondonville « le rempart » est un mur de soutènement construit pour maintenir les maisons situées au-dessus. Il fait, par endroits, jusqu’à trois mètres d’épaisseur et renforce une quinzaine de maisons.

Pigeonnier[modifier | modifier le code]

Cet édifice date du début du XIXe siècle. Sa forme évoque les tours des demeures seigneuriales de l’ancien régime, symbole de puissance et de pouvoir. La toiture très répandue, appelée « pied de mulet » présente un décrochement au niveau duquel sont situés les trous d’accès des pigeons.

Borne de la Croix d’Alliez[modifier | modifier le code]

Cette borne de pierre, encore visible a été placée à l’époque de la guerre de Cent Ans. Elle est située en limite de Cornebarrieu et Mondonville. Elle délimitait la frontière entre la Guyenne (sur la face ouest) et le Languedoc (sur la face est). La borne comprend l’inscription « 1690 toise Languedoc-Guyenne » (une toise = 1,949 mètre). La pierre conserve également des traces de scellement qui accréditent l’existence d’une croix sur la partie haute. Cette croix aurait disparu au moment des guerres de religion, origine du nom du lieu-dit la Croix d’Alliez[48].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Robert Esparbès, historien de Mondonville – « Si Mondonville m’était conté ».

Livre terrier de Mondonville (1579).

Plans terriers de la terre de Mondonville (1767).

Délibérations de la commune de Mondonville (1852 à 1968).

Monographie de Mondonville par Sabathé (1885).

Ouvrage des moines Dom Devic et Dom Vaissette.

Lucien Babonneau – « Daux son histoire » (1936) et « Promenades au pays de Save ».

Léon Dutil – « La Haute-Garonne et sa région » (1928).

Ouvrage de l’abbé Castagné, curé de Mondonville.

Ouvrage de l’abbé Espagnat () – Transformations de l’église.

Document de 1901 découvert en 1979 par Mr. Fédélé, entrepreneur, lors de travaux dans l’église.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
  • Cartes
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  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
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  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
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  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
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Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Mondonville et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
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